C’est bien où nous en sommes, le virus est toujours là et les roquemaurois semblent partager entre l’envie de vivre comme avant et la peur de la maladie comme partout en France.
Ainsi le repas républicain du 13 juillet a eu lieu mais aurait pu réunir encore plus de personnes, les animations du marché encouragent les gens à se retrouver mais les gens semblent partagés, autant de porteurs de masques que de non porteurs.
Les consignes de sécurité n’arrangent pas la perception du danger : on peut écouter la musique du bal républicain mais pas danser, l’espace de un mètre doit, et l’est, être respecté entre les tables mais un groupe ou une famille s’installant peut rester attablé.
Aux arènes pour la course de vendredi il faudra laisser une place entre chaque groupe, comment vérifier?
Les exemples de la fête de la musique à Paris, de la soirée DJ de Nice n’arrangent rien, les jeunes ont envie de faire la fête et ne comprennent que difficilement ce qu’ils voient comme deux poids deux mesures.
En tous cas le repas s’est bien passé, le vin des producteurs de Tras-le-Puy a coulé, Amandine Musichini très professionnelle a ravi les roquemaurois, le lendemain au marché la musique était là aussi pour égayer les esprits et chasser les peurs.